Mes yeux croyaient voir clair,
Mon cœur avait la lumière,
Je marchais droit, sûr de mon pas,
Pourquoi ces murs de pierres ?
Debout j’ai tant lutté,
Je t’ai prié révolté.
Quand dans le noir je n’avais plus d’espoir,
J’ai su la vérité.
Toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu guides mes pas,
Car toi seul connais la voie.
Et si la vie me blesse,
L’épreuve à d’autres promesses.
Et si j’ignore quel en est le trésor,
En toi est la sagesse.
Je vis jour après nuit.
La foi est ma seule amie.
Comme un enfant je te donne innocent,
Ma confiance infinie.
Toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu guides mes pas,
Car toi seul connais la voie.
Dans un nuage j’avais cru voir le ciel,
Le vol de l’aigle me semblait gloire éternelle,
Tu es le vent qui a ouvert ses ailes,
Prend ma main et ma vie, tu éclaire ma nuit.
Car toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu mènes mes pas,
Je suis ton enfant, guide moi.
Toi seul connais la voie.
Mon cœur avait la lumière,
Je marchais droit, sûr de mon pas,
Pourquoi ces murs de pierres ?
Debout j’ai tant lutté,
Je t’ai prié révolté.
Quand dans le noir je n’avais plus d’espoir,
J’ai su la vérité.
Toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu guides mes pas,
Car toi seul connais la voie.
Et si la vie me blesse,
L’épreuve à d’autres promesses.
Et si j’ignore quel en est le trésor,
En toi est la sagesse.
Je vis jour après nuit.
La foi est ma seule amie.
Comme un enfant je te donne innocent,
Ma confiance infinie.
Toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu guides mes pas,
Car toi seul connais la voie.
Dans un nuage j’avais cru voir le ciel,
Le vol de l’aigle me semblait gloire éternelle,
Tu es le vent qui a ouvert ses ailes,
Prend ma main et ma vie, tu éclaire ma nuit.
Car toi seul connais la voie,
Toi seul est vrai.
Peu importe où tu mènes mes pas,
Je suis ton enfant, guide moi.
Toi seul connais la voie.